Ce matin, on la prend très cool. On sort de la chambre à 11h30, pour se balader un peu dans des rues où l’on n’a pas encore été, avec notre boisson chaude en main. On se dirige doucement vers le Nord, en dehors de la ville antique, vers le Heilongtan Park.

Il y a un droit d’entrée de 50 yuan chacun. Le parc n’est pas si grand et moins beau que ce que j’imaginais. C’est mignon mais ça ne vaut pas non plus des articles de blogs, comme j’ai pu en lire.

Photo de Tristan: moi qui regarde un panneau

On s’arrête manger dans un bouiboui au bord du lac.

On traverse le parc, et un Didi nous emmène à Shuhe. Il paraît que le centre-ville antique est plus authentique et moins fréquenté que Lijiang.

Finalement, le village est mignon certes mais n’a franchement plus rien « d’authentique », ou alors il faudrait revoir la définition de ce mot. On y retrouve les mêmes boutiques qu’à Lijiang, et comme il y a un peu moins de monde, on passe encore moins inaperçus.

L’entrée de la ville antique de Shuhe

On s’arrête boire un café dans un super boutique qui a gagné plein de prix er qui vend de magnifiques sets de théières.

Je m’arrête dans une jolie boutique qui me plaît bien et j’achète des petits « bijoux » de vêtements.

Sur ce, on reprend un Didi pour rentrer vers Lijiang. Un peu déçue de Shuhe, si j’avais su, on serait allés à Yuwu, un village qui semble beaucoup plus perdu, un peu plus au nord, et qui semble aussi à visiter.

A Lijiang, nous rentrons un peu à l’hôtel nous reposer et faire une lessive, avant de ressortir manger dans un des restaurants à 15 secondes de marche de notre chambre 😂.

Il s’agit d’un autre restaurant de cuisine naxi où l’on a vraiment du mal à se faire comprendre et vice versa. J’insiste pour que l’on nous serve une fondue chinoise, et la serveuse insiste pour me demander la puissance de l’assaisonnement d’une soupe qu’elle me conseille de prendre. J’abdique, sans comprendre pourquoi je n’ai pas le droit à ma fondue 🫕 😂.

Finalement, les serveurs nous déposent une soupe énorme, qui est en fait la base de notre fondue, et une belle quantité de légumes et de viandes à faire cuire, dont de la viande de yak, car c’est la spécialité du restaurant. On peine un peu à démarrer à manger, on observe autour de nous comment font les locaux. La serveuse se marre et l’un d’entre eux vient nous montrer.

Le repas est très bon, j’apprécie beaucoup le fait de manger de la « vraie » viande, qui ne soit pas hachée. Le yak est lui très bon, pas bien différent de ce qu’on a l’habitude de manger.

Nous terminons notre repas par une gaufre nature, que l’on mange en nous baladant un peu dans une Lijiang illuminée, avant de rentrer au chaud et au sec à l’auberge!

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